12/01/2017
Son auteur Hervé THIS explique dans cette note que la dénomination « gel » s'applique, trop largement, aux systèmes colloïdaux composés d'une phase liquide et d'une phase solide. Cette définition est ambiguë, parce que le même mot est utilisé pour la désignation de systèmes aussi différents que les gels « non connectés », tels le parenchyme du tissu végétal (en supposant le cytosol liquide), ou des gels connectés telles les confitures.
Á l'aide du formalisme des systèmes dispersés (DSF), Hervé THIS estime qu'on peut envisager systématiquement des gels de nombreuses sortes, notamment des gels dynamiques, ou dynagels, dont on explore la bioactivité.
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