Vous êtes ici

microbiote

01.08.Q05 : Le sol agricole : un milieu vivant

Ce qu'il faut retenir :
     L’activité biologique des sols est encore mal connue des agriculteurs, toutefois des efforts de vulgarisation mettent à leur disposition de plus en plus d’informations.
Il existe de nombreux moyens pour augmenter l’activité biologique d’un sol, et cette augmentation est souvent favorable à la fertilité dans la mesure où elle permet d’économiser des intrants (engrais en particulier). Une bonne activité biologique est indispensable en agriculture biologique pour améliorer les rendements, car elle entraîne une minéralisation efficace de la matière organique. Mais augmenter trop l’activité biologique peut entraîner une diminution de la teneur en matière organique !

Fiche téléchargeable au format PDF, ci-dessous :

PDF icon le_sol_agricole_un_milieu_vivant.pdf

01.08.Q06 : Interactions sol-plante

Ce qu'il faut retenir :
     Chaque espèce a un système racinaire propre, par sa morphologie et par ses exsudats racinaires ; cette variabilité est utile pour maintenir ou améliorer la fertilité.
     Faire alterner différentes cultures dans la rotation permet une meilleure utilisation des éléments minéraux du sol, grâce à sa meilleure exploitation par les racines.
     Des bioagresseurs peuvent s'attaquer aux racines et pénaliser l'alimentation en eau et en éléments minéraux des cultures, il faut donc surveiller la qualité sanitaire du système racinaire.
     Cultiver des associations d'espèces permet des échanges profitables entre cultures.
     Les mycorhizes jouent un rôle important pour l'alimentation en eau et en minéraux de certaines cultures.

Fiche téléchargeable au format PDF, ci-dessous :

PDF icon interactions_sol-plante.pdf

06.10.Q01 : Les communications intercellulaires

Ce qu'il faut retenir de la fiche :

Des communications existent entre cellules de mêmes organismes (multi- mais aussi unicellulaires), ainsi qu'entre organismes différents.

Ces communications s'exercent à des distances très variables, d'un contact direct (connexons, synapses, mycorhizes) jusqu'à des kilomètres (phéromones). Malgré ces différences, les mécanismes moléculaires en jeu sont très semblables. 

Fiche téléchargeable au format PDF, ci-dessous :

PDF icon final_06.10.q01_comms_intercellulaires.pdf

08.04.Q14 : Aliments ultra-transformés : comment expliquer que leur consommation soit associée à un risque accru de maladies ?

     De nombreuses hypothèses peuvent être évoquées pour expliquer des effets défavorables d'une forte consommation d'AUT, mais elles nécessitent encore des travaux de recherches complémentaires, et il est aujourd'hui difficile de comparer les pertinences et les poids de ces différents mécanismes potentiels.
     La composition et la qualité nutritionnelles des AUT restent cependant des pistes plausibles, qui interagissent avec d'autres (microbiote, addiction, inflammation, etc.). Il est par ailleurs probable que :
- plusieurs mécanismes peuvent co-exister,
- à l'inverse, tous les mécanismes ne sont pas à l'œuvre pour tous les types et catégories d'AUT ; ce dernier point est particulièrement important pour aller plus loin et améliorer la formulation et le choix des procédés lors de la conception des aliments.
     Aussi, plutôt que rejeter en bloc tous les AUT – ce qui correspond souvent à un rejet de tous les aliments industriels puisque leur identification est difficile ! (voir fiche 08.04.Q13 ) –, il serait plus approprié de :
- cibler les points faibles des aliments incriminés, et de les corriger,
- favoriser une information et une éducation nutritionnelles suffisantes pour que le consommateur puisse sélectionner les produits, AUT ou non, qui permettront une alimentation saine, agréable, peu coûteuse et simple à mettre en œuvre.

Fiche téléchargeable au format PDF, ci-dessous :

PDF icon aliments_ultra-transformes_risque_accru_de_maladies.docx_.pdf